Les fausses innocences Armel Job
J'ai enchaîné avec un deuxième livre de cet auteur, tant le premier m'avait plu.
Lorsque Mathilda Stembert vient déclarer la mort de son mari, décédé accidentellement à l'étranger, le bourgmestre du village, Roger Millier, sait qu'elle ment. La veille, il a convaincu le docteur Stembert de ne pas quitter sa femme pour sa maîtresse allemande.
Mais Roger Millier aime Mathilda depuis l'adolescence. Fera-t-il son devoir de premier magistrat de la commune ou acceptera-t-il les dires de la femme qu'il aime ? Orfèvre des mots et des sentiments, Armel Job nous offre un roman digne des meilleurs films noirs.
En 2005, Les fausses innocences a reçu le Prix du Jury Jean Giono et le Prix des Amis des bibliothèques de la ville de Bruxelles.
Toute aussi bonne lecture que celui dont je vous ai parlé précédemment, en quelques mots de résumé vous avez une idée de l'histoire sans qu'il en soit trop dit. Et très vite, on a l'impression d'une histoire de fous dans un enchevêtrement de circonstances et de non-dits. On croit savoir ce qu'il s'est passé et puis non, finalement c'est autre chose... à moins que... ah ben au final c'était ça la vérité !! Résumé en quelques mots c'est exactement ça. Avec des personnages surprenants comme par exemple le bourgmestre ou sa mère, mais tous sont crédibles et bien campés. Moi j'adore ! Lisez-le si vous en avez l'occasion.